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21 mars 2026

Exposition: Thomas Vannieuwenhuyse Peinture
Spectacle: Jérémie Bossone Chanson française
Dégustation: en cours d'organisation

Ouvertures des portes :
Exposition :
18h
18h
Dégustation :
Restauration :
Spectacle :
19h
19h15 - 20h15
20h30

Le Menu pour accompagner votre dégustation (sur réservation):

Menu en cours d'élaboration

Thomas Vannieuwenhuyse

" LALALA UNE ÉCRITURE SONORE "

Pourquoi lalala ?

Cette onomatopée s’est présentée comme une évidence pour représenter la musique dans mes tableaux.
Pop, simple, universelle, joyeuse, reconnaissable.
Le lalala se décline de manière infinie et reste, quelle que soit son application, porteur de sens et attractif.

Thomas Vannieuwenhuyse
Artiste formé aux Beaux-Arts d'Aix-en-Provence puis de Montréal.



RÉFLEXIONS AUTOUR DU LALALA

Pensé comme un fil conducteur, le lalala, forme élémentaire et universelle du langage, traverse l’ensemble des oeuvres : tantôt transcriptions graphiques de chansons populaires, tantôt expression d’un chant intérieur, évocation de paysages sonores de la nature et de l’univers, il est présent, tout le temps.

Dans certaines pièces, il prend la forme d’une écriture automatique, d’un geste répétitif, d’une signature; il devient aussi partition, le motif remplaçant la note et la contrainte du langage musical.

Avec le lalala, j’interroge les représentations de la musique dans le champ des arts plastiques, j’explore les frontières entre langage, abstraction et musique en questionnant la capacité d’un simple motif vocal à générer une narration visuelle.



QUI EST DERRIÈRE LE LALALA ?

Je suis Thomas Vannieuwenhuyse, artiste formé aux Beaux-Arts d'Aix-en-Provence puis de Montréal (début 2000).

Après 20 ans dans la production vidéo, j'ai renoué avec l'art il y a dix ans, poussé par un besoin de création et attiré par les défis de couleurs et d'équilibre.
J'expose depuis 2021 et ai présenté mon travail une vingtaine de fois avec une excellente réception publique.

Ma pratique se concentre sur la peinture, explorant également le volume, le street-art et la performance.
Aujourd'hui, l'art occupe une place grandissante dans ma vie, bien que l'équilibre financier reste un défi pour poursuivre cette recherche artistique.

Jérémie Bossone

Sa voix atypique, son goût viscéral pour les histoires, la flamboyance baroque de ses musiques, la rigueur technique de ses chansons, leur dimension cinématographique, leur puissance émotionnelle et sa manière de les incarner sur scène, tout cela fait de Jérémie Bossone un ovni dans le paysage de la chanson française.

Après avoir remporté de nombreuses récompenses (Prix SACEM, Prix ADAMI, Pic d’Or, Vive la Reprise...), Bossone sort en 2015 son premier album, Gloires, réalisé par Ian Caple (Alain Bashung, Stevie Wonder, Tricky...). Gloires reçoit le Coup de Cœur de l’Académie du Disque Charles Cros.

S'ensuivent de nombreuses premières parties (Francis Cabrel, Arno, Nolwenn Leroy, Yves Jamait, Camélia Jordana, les Hurlements d’ Léo, Graeme Allwright...).
Depuis quelques années, Jérémie Bossone multiplie les concerts à travers le monde francophone (France, Suisse, Canada, Belgique, Russie, Allemagne, Bulgarie...).

La presse le décrit comme « le chaînon manquant entre Brel et Noir Désir », « la fusion entre Eminem et Bob Dylan ». Bossone commente : « Sympa, mais réducteur ».

De fait, sa volonté constante de renouveler ses formes le pousse à arpenter divers chemins musicaux et à embrasser tous les genres : chanson, rock, rap, synthpop, électro, folk, pop, lied... Foisonnement esthétique que Jérémie Bossone résume en une formule : « Je fais du Drama Pop ».

Il est également l’auteur d’un roman paru aux éditions Lamao : Crimson Glory, lauréat du Premier Prix Littéraire 2019.

En février 2019 paraît son 2nd album : Les Mélancolies pirates, qui reçoit à son tour le Coup de Cœur de l’Académie du Disque Charles Cros.
En septembre 2020 paraît son 3ème album : Le Décembre italien.

Son 4ème album, Cherokee Rose, paraît en janvier 2025. Le mois suivant, il se hisse à la 1ère place du classement des Radios Quota.


PRESSE

« Bossone, le d'Artagnan des belles lettres, poursuit son boulot de dynamiteur. Rock, folk, lied, rap... Il est partout. Inclassable. Il faut le répéter à l'envie : des Bossone, sur la scène chanson actuelle, nous n'en avons qu'un et il est grand. Très grand ».
HEXAGONE

« Difficile de rester indifférent à Jérémie Bossone, qui envoie tout à fond, ses tripes, sa guitare et son jeu de scène. Il abat les chapelles pour naviguer sur les eaux mélangées de la chanson poétique, du slam et du rock alternatif, le tout sous-tendu par une écriture tranchée. »
TÉLÉRAMA

« Jérémie Bossone est un geyser qu’on ne saurait canaliser, une force faite chanson, un talent brut, un diamant pas taillé, une voix qui oscille entre gifle et caresse.
Chanteur à la grâce d’un danseur étoile, amoureux de toutes les musiques, du lied au rap, du rock au classique, du folk à la chanson, Jérémie Bossone fait de toutes ses influences un art majeur d’un lyrisme fou»
NOSENCHANTEURS

« Une des plus fulgurantes révélations de ces dernières années dans le monde de la chanson. »
LE BLOG DU DOIGT DANS L'OEIL

« Jérémie Bossone est un météore, une étoile filant à vive allure, toujours là où on ne l’attend pas, il va, flamboyant féal à sa muse, armé de notes et de mots cueillis au jardin des plus grands. »
David Desreumaux

« Bossone vous prend, vous tire à lui, mêle vos tripes aux siennes le temps d’un concert, comme rarement artiste sait le faire. Précis et puissant, il a l’envergure du grand classique qu’il sera demain ».
Michel Kemper



CHEROKEE ROSE

Pétri d'amour et de rage, l'album Cherokee Rose oscille entre récits intimes (narrant des quêtes existentielles, sentimentales, sportives ou artistiques) et critiques sociales.
On y passe de chansons incarnées à des raps épiques, d'un road-movie teinté d'accents synthpop à des ballades folk revendicatrices ou tressées d'arpèges buckleyiens.
Les textes affichent une écriture rigoureuse, déployant tantôt un classicisme à la Brassens, tantôt des flows acérés dignes des MCs les plus inspirés du Rap Game.
La musique y joint son relief dramatique, tour à tour orchestral, acoustique, électro.
Cherokee Rose est un album cinématographique et débordant d'humanité. A fleur de peau, à fleur de monde. Inclassable. A la croisée de Brel, Eminem, Wagner, Dylan, Kavinsky...
En un mot : Bossonien.




PRÉFACE À CHEROKEE ROSE

"Des amoureux en cavale, des sportifs en action, des êtres que la guerre interroge, des lycéens qui rêvent, des laissés-pour-compte, artistes, citoyens, qui se débattent dans la mâchoire de systèmes corrompus... Des victoires du cœur, des aurores de conflits, des duels de conscience...
Tels sont les protagonistes et les choses que l’on trouvera dans cet album, qui est à la fois mon disque le plus personnel et le plus ouvert sur le monde. On n’est pas à un paradoxe près.
C’est juste moi, en 2D : l’intime et le social. Le Sud et le Nord de nos identités. Pas d’individu qui ne se cherche entre ces pôles. Et parfois, ça prend du temps de devenir soi...
Raconter des histoires demeure ma fonction première ici-bas. Mais l’époque a vrillé. Et nous ne sommes pas inamovibles.
Le monde bascule, du mauvais côté. Moi je sautille de l’autre, pour faire contrepoids. On est là quelques-uns à s’agiter de la sorte, à décrire des cabrioles façon Chaplin : comiques, absurdes, essentielles.
Coming out : mes histoires et moi sautillons un peu plus fermement ces temps-ci. Ne vous en offusquez pas trop. De quel côté sautillons-nous ? Celui du cœur. Pas original ? Non. L’originalité, je la mets dans mon œuvre, pas dans mes choix politiques. Histoire de rester cohérent avec l’art, et connecté avec le monde.
Il me paraît désormais primordial que les artistes témoignent dans leurs créations de ce qui se joue au dehors. Ne serait-ce que par instants, par éclats. Pour jeter quelques lumières sur la nuit qui enfle. Et réaffirmer le lien humain. Car nous sommes tous embarqués dans une sale partie.
Je voulais chanter ici une part d’intime, et une part du monde. Par flashs et par trajectoire, cet album se meut de l’une à l’autre. Du début à la fin, on vogue ainsi des passions d’un être au blason des douleurs universelles, de cœur et d’encre en œuvre éclose, d’une page blanche à la Cherokee rose."
Jérémie Bossone

Dégustation en cours d'organisation

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